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Conseil tribal Mamuitun

Du 8 au 12 mars 2021

Forum

En rattrapage

Comment renforcer notre pouvoir de décider et d'agir comme Innus?

08

Lundi

Lancement : nos parcours d'autodétermination

11h30 > 13h30

Un rendez-vous pour comprendre le contexte en vue de la (re)construction de la Nation Innue, avec Me Marie-Claude André-Grégoire, Chef Ghislain Picard et Hélène Boivin.

Intentions de ce webinaire

Nous sommes à l’heure où nous, Innus, sentons « qu’il se passe quelque chose » : un mouvement qui mobilise les forces pour accroître l’autodétermination. Nous prenons petit à petit la mesure de ce qu’implique cette vaste démarche pour la reconstruction de notre Nation.

Ce parcours nous demande de transformer nos structures et appelle un engagement citoyen, pour qu’un leadership collaboratif entre nos communautés porte nos différentes aspirations. 

Aishkat ouvre donc son premier Forum avec l’intention de mettre la table sur notre volonté d’affirmation, et de renforcement de notre pouvoir d’agir et de décider pour nous autres, tshinanu mamu innuat. Nous allons faire un tour d’horizons pour se situer, identifier nos forces, nos outils et nos pistes d’actions, avec nos invité.e.s.

Me Marie-Claude André-Grégoire

Marie-Claude André-Grégoire est une innue de la communauté de Uashat mak Mani-utenam. Elle s’est jointe à l’étude O’Reilly & Associés, tout d’abord comme étudiante et stagiaire, et à titre d’avocate depuis décembre 2014. Elle est maintenant associée au sein de l’étude O’Reilly, André-Grégoire & Associés S.E.N.C.. 

Elle pratique en droit autochtone, en droit constitutionnel et en droit environnemental. Elle se spécialise plus particulièrement dans l’autodétermination des communautés autochtones et les droits ancestraux, y compris le titre indien. Elle a été notamment impliquée dans des procédures entreprises par des communautés autochtones visant des compagnies privées ou des gouvernements et dans des procédures d’infractions pénales statutaires. Elle possède de l’expérience en litige et en rédaction et dépôt de mémoire à la Cour fédérale, à la Cour d’appel fédérale, à la Cour supérieure, à la Cour d’appel du Québec ainsi qu’à la Cour suprême du Canada. Elle est également co-présidente du Conseil d’administration du Centre de justice des Premiers peuples de Montréal. 

Chef Ghislain Picard

Monsieur Ghislain Picard est Innu de la communauté de Pessamit. Entre 1976 et 1989, il a consacré la plus grande partie de son temps au domaine des communications. Il a, par ailleurs, été responsable des communications et des relations avec les médias pour le Conseil Atikamekw Montagnais (CAM). Il a publié, entre autres, un périodique « Tepatshimuwin » destiné aux communautés atikamekw et innues. 

Au début des années 80, M. Picard a été président du Centre d’amitié autochtone de Québec. En 1983, il a été très actif dans la mise sur pied d’un réseau de radios communautaires au sein de sa nation. Il a d’ailleurs été l’un des fondateurs de la Société de communication atikamekw et montagnaise (SOCAM) qui produit des émissions radiophoniques en langue autochtone. 

Vers le milieu des années 80, M. Picard a participé, au nom de la SOCAM, à une étude internationale pour l’UNESCO sur le rôle de la communication dans les communautés rurales. 

Après avoir occupé le poste de vice-président du CAM en 1989, il a été élu chef de l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador en 1992. Il occupe cette fonction jusqu’à aujourd’hui. À ce titre, il siège au comité exécutif ainsi qu’au comité de gestion de l’Assemblée des Premières Nations et agit comme porte-parole principal des revendications globales, de la population urbaine ainsi que du dossier international. Le 15 juillet 2014 à Halifax, les chefs en assemblée l’ont nommé à l’unanimité chef national par intérim, il a occupé ce poste jusqu’en décembre 2014 et a repris ses fonctions de chef de l’APNQL depuis.

M. Picard a été reçu, le 28 octobre 2003, chevalier de l’Ordre national du Québec. Il a reçu l’insigne de Chevalier de la Légion d’Honneur du Consul Général de France le 24 janvier 2005. 

Hélène Boivin

Mme Hélène Boivin est membre de la Première Nation des  Pekuakamiulnuatsh (Montagnais du Lac-St-Jean).  Elle a fait ses études en Sciences Sociales à l’U.Q.A.C.  Elle a œuvré dans plusieurs domaines en milieu autochtone notamment : la santé mentale, la culture, la muséologie, les arts, l’emploi, l’environnement, le développement économique et la politique.  

À l’emploi de Pekuakamiulnuatsh Takuhikan depuis 1995, elle occupe présentement le poste de coordonnatrice aux relations gouvernementales et stratégiques.  Dans le cadre de ses fonctions, elle coordonne notamment le comité de coordination des projets de recherche depuis 2017.   Elle est depuis le 25 mai 2019 présidente de la Commission Tipelimitishun, commission chargée de consulter les Pekuakamiulnuatsh sur le contenu d’un projet de constitution, de rédiger un projet et de le soumettre en référendum. 

Très impliquée dans son milieu, elle a fait partie de plusieurs associations dont la dernière est l’association du Parc Sacré.  Elle a contribué à la publication du recueil : Savoirs des Pekuakamiulnuatsh sur les plantes médicinales avec le soutien de Forêt modèle du Saguenay Lac-Jean paru en 2015.  

09

Mardi

Nitassinan, notre territoire

11h30 > 13h

Un rendez-vous thématique pour identifier nos visions autour du Nitassinan ainsi que les leviers d'autodétermination qu'il nous confère, avec James Moar, Sarah Zammit et Sébastien Brodeur-Girard.

Intentions de ce webinaire

Le territoire, c’est là que nos identités se sont développées, que notre langue a vécu, que nos familles ont tissé des relations. On parle de relations entre nous autres, tshinanu mamu innuat, entre individus, entre familles, entre nous et la nature, et, plus récemment, entre nous et les gouvernements colonisateurs.  

Toutes ces relations ont évolué au fil du temps et ont transformé notre pouvoir d’agir et de décider en tant qu’Innu, ainsi que nos rôles et responsabilités dans l’intendance du territoire ancestral. Aujourd’hui, des enjeux se posent quant à l’accès, au partage, à l’utilisation, à la connaissance de nos droits, au mode de gouvernance du territoire et à la vision qu’on lui confère par nos actions.  

Comment donc décider, agir et influencer l’avenir du Nitassinan? Dans quel cadre local ou international et par quelles nouvelles avenues légales pouvons-nous s’en servir de levier pour l’autodétermination de la Nation innue?  

James Moar

Porter nos propres règles : comment l’exemple des codes de pratique du territoire à Mashteuiatsh nous permet de mettre notre autodétermination en action?

Sarah Zammit

Comment une relation renouvelée,  illustrée par la nouvelle loi sur l’évaluation d’impact du Canada, permet la reconnaissance de nos droits, titre et intérêts? 

Sarah Zammit détient un baccalauréat en géographie et une maîtrise en environnement de l’Université de Montpellier en France. 

À partir de 2013, elle a travaillé pendant 7 ans à l’Institut de Développement Durable des Premières Nations du Québec et du Labrador, avec et pour les Premières Nations, sur l’analyse des projets de loi, politiques et règlements gouvernementaux en matière d’environnement et de développement durable. Un objectif transversal de son rôle de coordinatrice en consultation consistait à favoriser de meilleures pratiques en matière de consultation, de mobilisation et de collaboration entre les Premières Nations et les intervenants des gouvernements et de la société civile.  

Depuis 2020, elle travaille en tant qu’analyste principale en consultation autochtone à l’Agence d’évaluation d’impact du Canada, institution fédérale qui relève du ministre de l’Environnement et du Changement climatique et qui dirige les examens fédéraux des grands projets d’exploitation des ressources. À ce titre, elle poursuit sa collaboration avec les Premières Nations au Québec, dont certaines Premières Nations innues, puisqu’elle est chargée d’assurer la coordination de la consultation et de la mobilisation des peuples autochtones lors des évaluations d’impact de projets désignés. 

Sébastien Brodeur-Girard

Comment faire reconnaître et intégrer nos traditions juridiques et notre vision dans le système étatique canadien et québécois? Quelles pistes nous apportent le droit relationnel et droit de la nature?

Sébastien Brodeur-Girard est membre du Barreau du Québec et professeur à l’École d’études autochtones de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), où il enseigne notamment le droit des peuples autochtones et les systèmes juridiques autochtones.

Il possède un doctorat en histoire de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris et a œuvré plusieurs années dans ce domaine.  Il a récemment participé en tant que codirecteur de la recherche aux travaux de la Commission d’enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publics : écoute, réconciliation et progrès. 

Atelier collaboratif

13h30 > 16h30

Un exercice réunissant les participant.e.s souhaitant identifier des solutions concernant la thématique du Nitassinan et créer des ponts pour leur réalisation.

Soirée contes, légendes & musique

18h > 20h

Une soirée immersive organisée dans un studio virtuel, durant laquelle chacun.e pourra faire l'expérience envoûtante d'une soirée au coin du feu... Un beau moment de partage avec le conteur Patrick Courtois, Kukum Thelesh Bégin et David Hart! Pensez à vous inscrire!

10

Mercredi

Éducation, santé et famille

11h30 > 13h

Un rendez-vous thématique pour identifier comment définir et porter nos propres règles, avec Nadine Vollant, Marco Bacon & Sipi Flamand.

Intentions de ce webinaire

Le gouvernement du Canada s’est engagé dans un processus de transformation de sa relation avec notre nation. Cette posture vise à nous transférer des responsabilités sectorielles. C’est une invitation à se concerter, à établir et porter nos propres règles. 

Ce renouveau dans la relation avec le gouvernement canadien se traduit très concrètement par plusieurs chantiers qu’il nous est proposé d’investir, de faire nôtres, de porter avec nos valeurs, nos philosophies et nos conceptions du vivre ensemble. Il s’agit ici de saisir des pouvoirs et de mettre en œuvre l’avenir que l’on souhaite, à travers ce fameux portage auquel bien des participant.e.s du projet Aishkat souhaitent prendre part.  

Pour voir l’horizon des possibles, nous aurons dans ce panel les invité.e.s ci-dessous présenté.e.s.

Marco Bacon

Quel portrait pouvons-nous dresser de l’évolution de l’éducation dans nos communautés et quelles sont les pistes qui s’offrent à nous quant à l’adaptation des systèmes éducatifs et à davantage de ré-appropriation dans ce domaine? 

Marco Bacon, membre de la Nation des Pekuakamiulniuatsh, détient un baccalauréat en enseignement des arts et une maitrise en arts (volet transmission) de l’Université du Québec à Chicoutimi.  
 
Il a notamment travaillé pendant plusieurs années dans le domaine de l’éducation pour le Conseil des Montagnais du Lac-Saint-Jean. De septembre 2009 à juin 2019, il a occupé la fonction de directeur du Centre des Premières Nations Nikanite (CPNN) de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) au sein duquel il avait comme principale responsabilité d’assurer le lien entre les communautés des Premières Nations et l’université dans les domaines reliés à l’enseignement et à la recherche.  
 
Il agit maintenant à titre de consultant en éducation des Premières Nations. Monsieur Bacon est activement impliqué dans de nombreuses actions visant une éducation de qualité pour les membres des Premières Nations ainsi que l’atteinte d’un mieux-être et d’une santé globale pour ces derniers, dans une visée d’autodétermination. 

Nadine Vollant

À travers le développement de la Loi innu sur la bienveillance des enfants, initié à Uashat, comment les coutumes autochtones peuvent dorénavant redéfinir nos règles en matière de protection de la jeunesse et être reconnues par les tribunaux et organismes chargés de la protection des droits de l’enfant et de la jeunesse?

Nadine
Vollant, T.S., est une travailleuse sociale innue et directrice des services sociaux d’Uauitshitun, le Centre de santé et de services sociaux de la communauté innue d’Uashat mak Mani-utenam.
 
 
Détentrice d’un baccalauréat en travail social, elle possède une expérience de plus de 25 ans dans le domaine de l’intervention sociale auprès des jeunes et de leur famille, notamment en protection de la jeunesse. Au cours de sa carrière, elle a occupé différentes fonctions : éducatrice, intervenante sociale, superviseure clinique et gestionnaire. Elle a également participé à divers comités qui concernent les enfants suivis en protection de la jeunesse en contexte autochtone, notamment au comité sur les projets de vie des enfants autochtones du Québec afin que les particularités culturelles des enfants et des familles des Premières nations soient respectées.  
 
Depuis 2019, elle est membre de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. Enfin, en tant que partenaire principale des projets de recherche sur la gouvernance innue de protection de la jeunesse, menés au sein de sa communauté, elle a coécrit plusieurs articles sur le sujet. 

Atelier collaboratif

13h30 > 16h30

Un exercice réunissant les participant.e.s souhaitant identifier des solutions concernant la thématique de l'éducation, de la santé et de la famille, et créer des ponts pour leur réalisation.

11

Jeudi

Nos perspectives socio-économiques

11h30 > 13h

Un rendez-vous thématique pour s'inspirer de modèles et définir comment en créer à notre image, avec Marie St-Gelais, Marc Genest et Karine Awashish.

Intentions de ce webinaire

Quels modèles socio-économiques peuvent favoriser le portage de notre Nation? Qu’est-ce qui influence notre conception de l’économie? Pourquoi développer notre économie? Nous sommes aujourd’hui influencés par la société occidentale dominante, dont nous avons embrassé certains repères. Mais un peu partout, des individus se lèvent et portent au travers de leurs activités une vision qui irait davantage dans notre sens. Alors quels sont leurs angles d’approche? Sur quels exemples pouvons-nous se faire une tête et quelles mesures en cours dans la transformation de nos relations nous permettent d’aller de l’avant dans nos choix?

Marie St-Gelais

Marie St-Gelais nous partagera son expérience d’entrepreneure et discutera du rayonnement autochtone qu’elle porte dans le monde des affaires. 

Madame St-Gelais est une ingénieure civile innue originaire de Pessamit et possède 15 années d’expérience en tant que gestionnaire, chargée de projet et ingénieure-conceptrice. Elle a œuvré dans le domaine minier, la construction et les communautés autochtones. Elle a également récemment obtenu un diplôme de 2e cycle en Utilisation du matériau bois dans la construction et un second en Gestion en contexte autochtone à l’ENAP.

Depuis 2016, elle assure la direction de son entreprise d’ingénierie Ashini Consultants en coordonnant les projets d’ingénierie et de construction ainsi qu’en s’assurant du développement de l’entreprise. La mission de son entreprise est de supporter les communautés des Premières Nations dans leur développement et elle poursuit également l’objectif de développer et de maintenir une capacité de réalisation et expertise technique professionnelle autochtone.

Elle travaille activement à ce que les firmes professionnelles autochtones rayonnent et soient impliquées dans les grands projets touchant les ressources naturelles pour qu’ainsi les Premières Nations aient une voix technique dans la préparation et planification de ces projets. 

Marc Genest

Marc Genest évoquera le projet Apuiat et la nouvelle relation financière proposée par le Canada.

Marc Genest, Innu originaire du lac-St-Jean, maintenant membre de la Première nation des innus Essipit. Il fait son baccalauréat à l’université Laval à Québec en Administration des Affaires – Option Finances. Il Arrive à Essipit en février 1991 comme employé à la comptabilité, devient Directeur des Finances et du développement économique entre 1995 et 1998 et se consacre exclusivement au développement économique à partir de 1998 jusqu’à ce jour. Son premier projet a été l’élaboration d’un plan de développement touristique en 1993. Entre 1993 et 2002 la réalisation complète du premier plan de développement touristique est complété et Essipit est devenu une destination touristique à part entière.

À partir de 2002, son travail est axé sur la diversification de l’économie de la communauté à travers divers investissements dans le domaine des pêches commerciales, les projets d’énergie et le domaine forestier. Au cours de ces 25 années en développement économique communautaire principalement, il saura saisir les opportunités et développera une expertise dans divers domaines d’activités. 
 
Sa fierté est de voir comment Essipit, de par les années, a tout d’abord su se construire en acquérant des entreprises dont elles avaient les compétences pour les opérer et, de fil en aiguille, les choix d’investissements dans des entreprises en partenariat afin d’ajouter de nouveaux champs d’expertise à ses opérations d’entreprises. 

Et les dernières années ont démontré qu’une certaine stabilité économique s’est installée ce qui a permis à la communauté de prendre un certain recul et ainsi orienter ses actions vers une planification communautaire globale. 

En 2019, il accepte de relevé un autre défi, celui de devenir le directeur du nouveau secteur Développement, Territoire et Patrimoine. 

Karine Awashish

Karine Awashish, partagera son expertise dans la mise en place d’avenues innovantes en termes de développement, à travers l’angle de l’économie sociale et solidaire. 

Mme Awashish s’est fixé des objectifs personnels et professionnels en lien avec l’affirmation culturelle et identitaire des communautés autochtones. Originaire de la communauté atikamekw d’Obedjiwan, elle cumule près de de 20 ans d’expériences dans le développement social, culturel et économique au sein de multiples organisations et initiatives autochtones du Québec.   
 
Titulaire d’une maîtrise en loisir, culture et tourisme à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et d’un baccalauréat en administration des affaires (UQAM), elle poursuit actuellement des études au doctorat en sociologie à l’Université Laval. Ses intérêts de recherche sont la coopération, la transformation sociale et la mise à contribution des savoirs autochtones.

En 2015, elle co-fonde Coop Nitaksinan, une coopérative de solidarité qui permet la réalisation de projets collectifs à caractère socioéconomique et culturel (Espace Onikam, projet Tapiskwan, …).  Conseillère en économie sociale pour les Premières Nations à la Commission de développement économique des premières Nations du Québec et du Labrador depuis 8 ans, elle se consacra à la promotion et au développement de l’économie sociale autochtone au Québec, une économie empreinte des caractéristiques et des particularités culturelles du milieu autochtone.

Son implication au projet collectif et artistique Tapiskwan lui permet de conjuguer deux objectifs personnels et professionnels qui lui tiennent particulièrement à cœur soit la diffusion, la mise en valeur de la culture et des arts autochtone ainsi que le développement de la jeunesse. 

Atelier collaboratif

13h30 > 16h30

Un exercice réunissant les participant.e.s souhaitant identifier des solutions concernant la thématique de nos perspectives socio-économiques et créer des ponts pour leur réalisation.

12

Vendredi

Clôture : le cercle des décideurs

12h > 13h

Une finale pour identifier nos acquis et partager des orientations pour la Nation.

Questions? / réponses!

Qui peut participer?

  • Webinaires : toute le monde
  • Ateliers collaboratifs : tous les Innus, et quelques places sont disponibles pour nos allié.e.s, sur demande.

Comment participer?

Vous devez d’abord vous inscrire et sélectionner, dans le formulaire d’inscription, les activités auxquelles vous participerez.
Vous recevrez par la suite la documentation nécessaire pour votre participation ainsi que les liens pour vous connecter aux rencontres virtuelles.

De quoi ai-je besoin?

– Un accès à internet

– Un ordinateur, une tablette ou un téléphone avec caméra et microphone

– L’application ZOOM installée sur votre appareil

Quels sont les prix de participation?

Des expériences à vivre, de l’artisanat innu et d’autres cadeaux exclusifs Aishkat mettant à l’honneur nos communautés.
L’inscription au Forum et la participation à au moins un atelier collaboratif sont requises pour faire partie du tirage qui aura lieu à la fin de l’événement.

Autre question?

Contactez-nous au 418-567-2295

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